Más de 50.000 vírgenes en Swazilandia se preparan para bailar ante el Rey y han empezado a cortar cañas que utilizan para ello. Esta ceremonia se organiza cada año para celebrar la Independencia del país y también el aniversario del monarca. El acto previo de cortar cañas es un homenaje a la Reina madre.
Swazilandia es un pequeño estado con una monarquía absoluta en la que el rey Mswati III es dueño y señor del país. Las chicas, previamente seleccionadas en razón de su edad, bailan con los pechos desnudos delante del monarca y de numerosos turistas en Ngabezweni.
domingo, 31 de agosto de 2008
Elecciones fraudulentas en Zimbabwe
Seretse Iam Khama, presidente de Botswana, es el único del Africa austral que oficialmente ha condenado las fraudulentas elecciones de Zimbabwe. Se trata de un país con poco peso político en la zona, pero que ha sabido estar dónde otros no han ejercido su liderazgo. En su día, con la elección de Nelson Mandela, Sudáfrica ejerció un incuestinable liderazgo, no solo de la región austral, sino de todo el Continente. Su sucesor Tabo Mbeki , pese a sus labores de mediación en algunos conflictos, se ha instalado en la duda permanente y no he dejado de apoyar a dictadores que ha llevado la ruina a sus respectivos estados.
viernes, 15 de agosto de 2008
Xuloo bi:Yekini et Baboye font monter la tension entre Mbaye J.Diop et Gaston Mbengue(2ª partie)
C’est désormais la vendetta entre l’ancien maire de Rufisque, Mbaye Jacques Diop, et le promoteur de lutte Gaston Mbengue. En réponse à la lettre très salée du premier qui menaçait de servir une sommation interpellative au second, ce dernier s’est manifesté par une réponse envoyée à notre rédaction. Pour servir une cinglante réplique à Mbaye Jacques Diop, le moins que l’on puisse dire, c’est que Gaston Mbengue ne s’est pas retenu.
Œil pour œil, dent pour dent. Le combat Yékini – Balla Bèye II continue d’alimenter les débats. Mais la bataille a désormais quitté l’arène pour investir le ring de propos irritants à souhait, balancés par presse interposée entre deux icônes politiques. Si Mbaye Jacques Diop n’a pas apprécié les accusations de récupération politique proférées à son encontre par le promoteur Gaston Mbengue, au point d’écrire contre lui une réponse très salée tout en menaçant de le traduire en justice en lui réclamant un milliard de dommages et intérêts pour injures et diffamation, ce dernier s’est manifesté hier. Dans une réponse à la réponse de Mbaye Jacques, Salif Mbengue alias Gaston n’y va pas avec le dos de la cuiller. Pour lui, l’ancien président du Craes s’en est pris à lui dans «des termes outrageants (qu’il) ne peut laisser sans réplique.» Mieux, Gaston assimile la réponse de Mbaye Jacques Diop à un tissu «d’allégations mensongères (…) dénuées de tout fondement.» Gaston Mbengue affirme avec hardiesse que ce dernier «est exclu quand (on) parle de morale, d’éthique et de dignité». À l’endroit de l’ancien édile de Rufisque, Gaston Mbengue, tout en vantant ses mérites, rappelle de tristes faits d’armes à mettre à son actif. Pour lui, «la méthode classique de Mbaye Jacques Diop cherche à discréditer un homme qui investit et crée des emplois pour la jeunesse de son pays.» Concernant la visite «politisée» des lutteurs à Rufisque, Gaston Mbengue persiste avoir été embarqué dans cette histoire et impute la faute à Mbaye Jacques qu’il accuse toujours d’avoir voulu profiter de la notoriété de Yékini et Baboye pour «se relever de sa mise à l’écart». Ainsi, Gaston Mbengue souligne qu’il est «horrible» que Mbaye Jacques Diop «cultive l’amalgame en voulant profiter de la popularité de certains sportifs pour refaire surface.» Par ailleurs, le promoteur nie avoir été invité à la visite par un des assistants de Mbaye Jacques Diop qui l’aurait lui-même appelé depuis Louga pour l’informer de la visite. Concernant la somme d’un milliard que lui réclame le célèbre Rufisquois, Gaston Mbengue est d’avis que «ce n’est que de l’agitation de la part de quelqu’un à qui le budget du Craes de presque 2 milliards a échappé.»
Œil pour œil, dent pour dent. Le combat Yékini – Balla Bèye II continue d’alimenter les débats. Mais la bataille a désormais quitté l’arène pour investir le ring de propos irritants à souhait, balancés par presse interposée entre deux icônes politiques. Si Mbaye Jacques Diop n’a pas apprécié les accusations de récupération politique proférées à son encontre par le promoteur Gaston Mbengue, au point d’écrire contre lui une réponse très salée tout en menaçant de le traduire en justice en lui réclamant un milliard de dommages et intérêts pour injures et diffamation, ce dernier s’est manifesté hier. Dans une réponse à la réponse de Mbaye Jacques, Salif Mbengue alias Gaston n’y va pas avec le dos de la cuiller. Pour lui, l’ancien président du Craes s’en est pris à lui dans «des termes outrageants (qu’il) ne peut laisser sans réplique.» Mieux, Gaston assimile la réponse de Mbaye Jacques Diop à un tissu «d’allégations mensongères (…) dénuées de tout fondement.» Gaston Mbengue affirme avec hardiesse que ce dernier «est exclu quand (on) parle de morale, d’éthique et de dignité». À l’endroit de l’ancien édile de Rufisque, Gaston Mbengue, tout en vantant ses mérites, rappelle de tristes faits d’armes à mettre à son actif. Pour lui, «la méthode classique de Mbaye Jacques Diop cherche à discréditer un homme qui investit et crée des emplois pour la jeunesse de son pays.» Concernant la visite «politisée» des lutteurs à Rufisque, Gaston Mbengue persiste avoir été embarqué dans cette histoire et impute la faute à Mbaye Jacques qu’il accuse toujours d’avoir voulu profiter de la notoriété de Yékini et Baboye pour «se relever de sa mise à l’écart». Ainsi, Gaston Mbengue souligne qu’il est «horrible» que Mbaye Jacques Diop «cultive l’amalgame en voulant profiter de la popularité de certains sportifs pour refaire surface.» Par ailleurs, le promoteur nie avoir été invité à la visite par un des assistants de Mbaye Jacques Diop qui l’aurait lui-même appelé depuis Louga pour l’informer de la visite. Concernant la somme d’un milliard que lui réclame le célèbre Rufisquois, Gaston Mbengue est d’avis que «ce n’est que de l’agitation de la part de quelqu’un à qui le budget du Craes de presque 2 milliards a échappé.»
Xuloo bi:Yekini et Baboye font monter la tension entre Mbaye J.Diop et Gaston Mbengue(1ª partie)
L’ex-maire de Rufisque et non moins ancien président du Craes vient d’adresser une sommation interpellative au promoteur de lutte Gaston Mbengue qui l’accusait d’avoir fait de la récupération politique en accueillant Balla Bèye n°2 et Yakhya Diop Yékini. L’huissier de justice, Monique Malick Thiaré, a délaissé le document ce mardi à Gaston Mbengue.
La sortie de Gaston Mbengue l’accusant d’avoir fait de la récupération politique en accueillants les lutteurs Balla Bèye n°2 et Yakhya Diop Yékini n’est pas du goût de Mbaye Jacques Diop. Il l’a fait savoir dans une contribution publiée lundi dans beaucoup de quotidiens. Il ne s’est pas limité à cela. Il a servi une sommation interpellative à Gaston Mbengue pour qu’il confirme ou infirme les propos qu’il aurait tenus. La sommation lui a été remise ce mardi par l’huissier de justice Monique Malick Thiaré.
Une citation directe a déjà été rédigée par Me Mbaye Jacques Ndiaye, avocat de l’ex-maire de Rufisque. Dans la citation qui sera servie à Gaston Mbengue s’il confirme les propos qu’on lui a prêtés, il est mentionné que l’accueil réservé aux lutteurs Yékini et Baboye à Rufisque qualifié de « récupération politique » et de « vol » par Gaston à l’endroit de Me Mbaye Jacques Diop portent « atteinte à son honneur et à sa considération ». La citation directe vise l’injure et la diffamation. Me Mbaye Jacques Diop compte réclamer 1 milliard de francs Cfa pour laver son honneur. Argent qu’il utilisera à des œuvres caritatives. 500 millions de francs Cfa seront destinés à la Case des Touts Petits et les autres 500 pour l’association des handicapés, annonce-t-on.
La sortie de Gaston Mbengue l’accusant d’avoir fait de la récupération politique en accueillants les lutteurs Balla Bèye n°2 et Yakhya Diop Yékini n’est pas du goût de Mbaye Jacques Diop. Il l’a fait savoir dans une contribution publiée lundi dans beaucoup de quotidiens. Il ne s’est pas limité à cela. Il a servi une sommation interpellative à Gaston Mbengue pour qu’il confirme ou infirme les propos qu’il aurait tenus. La sommation lui a été remise ce mardi par l’huissier de justice Monique Malick Thiaré.
Une citation directe a déjà été rédigée par Me Mbaye Jacques Ndiaye, avocat de l’ex-maire de Rufisque. Dans la citation qui sera servie à Gaston Mbengue s’il confirme les propos qu’on lui a prêtés, il est mentionné que l’accueil réservé aux lutteurs Yékini et Baboye à Rufisque qualifié de « récupération politique » et de « vol » par Gaston à l’endroit de Me Mbaye Jacques Diop portent « atteinte à son honneur et à sa considération ». La citation directe vise l’injure et la diffamation. Me Mbaye Jacques Diop compte réclamer 1 milliard de francs Cfa pour laver son honneur. Argent qu’il utilisera à des œuvres caritatives. 500 millions de francs Cfa seront destinés à la Case des Touts Petits et les autres 500 pour l’association des handicapés, annonce-t-on.
domingo, 3 de agosto de 2008
G.I.E le PLATEAU:La renaissance au bout de l´effort
Le chomage,comme partout dans le monde,est un des meilleurs compagnons de la jeunesse senegalaise et fidel ami des jeunes ,plus particuliérement ceux de la banlieue.
Vers les années 90 les jeunes de plateau ,un petit quartier sis a tally diallo s ´etaient reunis pour mettre sur place un groupement d ´interet économique dénommé GIE LE PLATEAU dont le president était Djribril Maguette Mbengue economiste de profession.Pour une grande premiére á thiaroye ,des jeunes se sont investi pour une sortie immediate de situation de sous -emploi.Des années ont passé et la majeure partie des fondateurs s´est emmigré vers les pays occidentaux.Aujourd hui,en pleine crise economique que traverse le Senegal,le GIE est ressorti des tirroirs pour l´occupation des jeunes qui n ´ont pas eu la chance de trouver du travail.Des soirées dansantes,des kermesses,des opérations de nettoyages etc... sont organisés pour relancer á nouveau les activités .
sábado, 2 de agosto de 2008
Amigos africanos
El presidente de CIU, Artur Mas, expresó ayer al presidente de Senegal, Abdoulaye Wade, su apoyo a la campaña Emigración tolerancia cero, que consiste en procurar que la población africana se quede en sus países de origen y no emigre a Europa. (El País Catalunya, sábado 2 de agosto de 2008)
Mas en Dakar declaró que en África se debería seguir el ejemplo de Senegal. Es de suponer que Mas es un nostálgico del "Domund", aquellas colectas que se hacían desde las iglesias católicas para ayudar a los pobre negritos que no tenían nada para comer. O, tal vez, Mas es un completo ignorante de los hechos políticos en Senegal. Lo que queda claro es que los intereses europeos y los intereses africanos son completamente divergentes.
Wade llegó al poder en el año 2000 con más de 70 años y después de largos años de lucha en la oposición. Contaba con la bendición de los gobiernos occidentales más influyentes en la zona, Francia y USA. Durante estos años, Wade ha crecido en popularidad en el exterior, ha sido el ejemplo de desarrollo y democracia en África. Claro que estos términos son relativos, algunos de sus valedores no dudaron en apoyar en Costa de Marfil a los rebeldes que provocaron una guerra civil frente a un presidente democrático (pero poco amigo de Francia).
En el interior de Senegal, las cosas no son igual. El ya octogenario presidente no ha dejado de maniobrar para legar el país a su hijo, con todos los medios a su alcance. Se cambian las leyes al estilo Berlusconi (en una misma legislatura se cambia por dos veces la constitución), se encarcelan periodistas o se clausuran medios de comunicación. La corrupción no deja de aumentar y las infraestructuras son cada día más precarias. ¿Dónde van las ayudas europeas?, muchos senegaleses lo tienen claro, a las cuentas en Europa de la familia del Presidente.
Ente las virtudes que los amigos europeos destacan de las políticas de Wade, está su lucha para frenar la emigración mediante unos programas de fomento de la agricultura y el desarrollo de la industria, pero los senegaleses de la calle siguen preguntando dónde se aplican estos programas. Mientras ellos prefieren huir de la miseria de un país en declive y de su octogenario presidente.
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